Le Jardin
Tu es le jardin de ma joie ultime,
Où un oiseau chantait doucement sur nous.
Et Tu es le chemin qui a conduit à travers la nuit,
Le bruissement du vent ou de ta soie.
Tu es le miracle que j’ai soudainement embrassé ;
Une beauté étincelante, brillante dans des vêtements sombres,
Tu es parfumée pour moi tout au long de mille nuits.
Tu as été la plénitude et la douleur du vide
Et tout le désir qui a quitté mon âme,
Pour qu’il se consume dans sa folie.
Je t’y ai embrassé, Ta vie était une chanson.
Tout à fait sans fin comme la mer des mers
Et comme la tempête qui traverse les montagnes.